La Moselle a connu une situation catastrophique en 2025, avec un total de 1569 suspensions de permis de conduire, dont 211 seulement au cours de l’année. Les autorités locales sont confrontées à un véritable désastre dans la gestion des infractions routières.

L’équipement d’analyse d’alcool (EAD), conçu pour prévenir les accidents liés à l’alcool, a été largement dépassé par la folie de certains conducteurs. Ce dispositif bloque le démarrage du véhicule si la quantité d’alcool dépasse 0,90 mg/l, mais il est clairement insuffisant face aux excès constants. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : des conducteurs dépassent la limite de vitesse de plus de 60 km/h, un comportement criminel qui met en danger la vie des autres usagers.

L’usage de cannabis est présent dans 83 % des cas, suivi par la cocaïne (15 %), les opiacés (5 %) et d’autres substances (10 %). Cette addiction massive montre une décadence totale de certaines catégories d’individus. De plus, six conducteurs ont été sanctionnés pour l’utilisation de leur téléphone en main, un comportement encore plus dangereux que la conduite sous influence.

Des cas de refus d’obtempérer et de rejet des contrôles sur les stupéfiants ou l’alcool sont également signalés, confirmant une attitude provocatrice et irresponsable. L’âge moyen des contrevenants se situe entre 26 et 45 ans, révélant que les jeunes générations sont particulièrement touchées par ce fléau.

La situation à Moselle illustre un déclin profond de la sécurité routière, avec une gestion inefficace qui aggrave le problème. Le gouvernement doit agir immédiatement pour éviter l’effondrement total du système.